L’enjeu est de maintenir la motivation dans une organisation déstabilisée par les plans de départ.
« Sur le sujet des “rescapés” des PSE, il y a un angle mort, reconnaît Christophe Nguyen, président d’Empreinte humaine, cabinet spécialisé en qualité de vie au travail et prévention des risques psychosociaux (RPS). Et quand il est abordé, c’est davantage sous un angle de remobilisation des troupes que sous le prisme de la santé au travail. »