La dépression et l’anxiété des salariés feraient perdre 12 milliards de journée de travail par an selon l’Organisation Mondiale de la Santé (OMS) et l’Organisation International du Travail (OIT). Des chiffres alarmants qui ne sont pas forcément une fatalité. Christophe Nguyen, le président d’Empreinte Humaine, un cabinet de conseil en qualité de vie au travail explique qu’il faut simplement former et s’organiser davantage au sein des entreprises pour prévenir les risques liés à la santé mentale. « Il y a un besoin de faire un état des lieux des risques psychosociaux et de la santé psychologique des salariés », pointe-t-il.